Adriana Karembeu : Entre mannequinat et fortune, la transparence sans complexe.

Posted 4 mai 2024 by: Admin #Actualité

Ă€ l’occasion de la sortie de son autobiographie « Libre », Adriana Karembeu a fait des rĂ©vĂ©lations cash sur les coulisses de sa carrière de mannequin international. InvitĂ©e dans l’Ă©mission « On refait la tĂ©lé » sur RTL, l’ancienne reine de beautĂ© n’a pas mâchĂ© ses mots concernant les sommes astronomiques qu’elle a pu toucher sur les podiums.

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Adriana Karembeu se livre comme jamais auparavant dans son livre paru le 2 mai dernier. Des souvenirs de son enfance en pays communiste Ă  ses annĂ©es d’Ă©tudes de mĂ©decine, en passant par ses deux mariages et sa maternitĂ© tardive, la comĂ©dienne dĂ©voile les diffĂ©rentes facettes de sa vie riche en rebondissements.

Adriana Karembeu : « On a intĂ©rĂŞt Ă  gagner de l’argent quand on est jeune »

InterrogĂ©e sur les revenus d’un mannequin de renommĂ©e internationale, Adriana Karembeu a d’abord expliquĂ© qu’il existe diffĂ©rents corps de mĂ©tier dans l’univers du mannequinat. « Il y a le travail de prestige sur lequel on ne gagne pratiquement rien et il y a les campagnes, les spots publicitaires oĂą cela dĂ©pend si c’est pour un, deux pays ou si c’est pour l’Europe, le monde… », a-t-elle confiĂ©.

« À la base, c’est un mĂ©tier oĂą l’on gagne bien notre vie. Mais n’oublions pas que c’est un mĂ©tier oĂą l’on dure très peu. Ă€ mon Ă©poque, quand on avait 28 ans, c’Ă©tait mort, c’Ă©tait fini […] et c’est un mĂ©tier oĂą on n’a pas de retraite. On a donc intĂ©rĂŞt Ă  gagner de l’argent quand on est jeune parce qu’après, il n’y a plus rien », a ajoutĂ© celle qui n’a eu « aucune culpabilité » Ă  gagner beaucoup d’argent en tant que mannequin.

« Je n’avais rien… » : Adriana Karembeu n’avait pas un sou lors de son arrivĂ©e en France

Si Adriana Karembeu a bien gagnĂ© sa vie en tant que mannequin, les dĂ©buts n’Ă©taient pourtant pas aussi roses pour l’ex-femme de Christian Karembeu. La mère de famille a rĂ©vĂ©lĂ© sur les ondes de RTL qu’elle n’avait pas le moindre sou pour manger lorsqu’elle est arrivĂ©e en France.

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Fort heureusement, elle a pu compter sur l’aide de sa colocataire. « Je n’avais rien, mais il fallait que je mange un truc. Donc, avec ma copine et colocataire, qui avait un peu d’argent, on s’achetait un gros pot de Nutella parce que c’Ă©tait nourrissant et on se disait qu’avec ça, on allait tenir longtemps. J’avais la possibilitĂ© de demander une avance auprès de mon agence, mais je n’osais pas », a conclu celle qui avait peur de retourner en Slovaquie auprès de sa famille avec des dettes.

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