Guillaume Kasbarian, Ă seulement 37 ans, s’affirme dĂ©jĂ comme une figure incontournable du paysage politique français.
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Promu ministre de la Fonction publique dans le gouvernement Barnier après une dissolution qui a bouleversé bien des carrières, Kasbarian a su tirer son épingle du jeu.
Au-delà de sa carrière, il a récemment partagé un aspect plus personnel de sa vie dans un entretien avec Paris Match, révélant sa relation avec Antoine, son compagnon.
Une Ascension Politique Remarquée

Depuis sa nomination comme ministre délégué chargé du Logement, et maintenant à la Fonction publique, Kasbarian a rapidement pris des positions fortes, notamment sur sa volonté de « débureaucratiser à tous les étages ».
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Ces déclarations, bien que controversées parmi les syndicats, ont contribué à le faire connaître du grand public.
Un Compagnon et Une Vie Partagée

La vie personnelle de Kasbarian s’est ouverte sous les feux de la rampe lorsque, lors de l’interview, il a prĂ©sentĂ© son compagnon Antoine, ancien militaire et pilote de ligne chez Air France.
Le couple, qui s’est pacsĂ© en 2012, partage une existence paisible Ă Saint-Martin-de-Nigelles, loin de l’agitation parisienne.
C’est dans leur maison, qu’ils ont acquise en 2015, qu’ils trouvent du rĂ©pit, profitant de leur jardin pour des barbecues hivernaux et de leur cave amĂ©nagĂ©e pour des moments de dĂ©tente.
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Une Vie Campagnarde Authentique

Le ministre et son compagnon mènent une vie que Kasbarian décrit comme similaire à celle de nombreux Français, marquée par un amour pour la « bonne bouffe », le bon vin, et les joies simples de la vie rurale.
« Notre vie de couple campagnarde est semblable Ă celle de nos voisins, » explique-t-il, soulignant que l’acceptation de soi et le refus de se cacher sont des valeurs qu’il chĂ©rit particulièrement.
Un Message d’Acceptation

Kasbarian voit aussi dans sa transparence sur sa vie privĂ©e une opportunitĂ© de contribuer Ă la lutte pour l’Ă©galitĂ©.
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« Si ça libère certains jeunes qui se cachent ou n’osent pas s’assumer, tant mieux. Si ça choque, c’est qu’il y a encore du chemin vers l’Ă©galitĂ©, » observe-t-il, mettant en lumière les dĂ©fis mais aussi les progrès possibles dans l’acceptation des diversitĂ©s en France.