« J’ai cru que… » : en direct, Élie Semoun lâche une comparaison sexiste sur une députée
Posted 5 juillet 2024 by: Admin
Mercredi 3 juillet 2024, sur Antenne Réunion, Élie Semoun a suscité la controverse par des commentaires jugés inappropriés envers la députée Mathilde Panot, comparant son apparence à celle d’une otarie.
Cette remarque, faite sur le ton de la plaisanterie, a rapidement provoqué une vague de réactions négatives sur les réseaux sociaux, où de nombreux internautes l’ont critiquée pour son caractère sexiste et inapproprié.
Contexte de la Remarque
Élie Semoun, connu pour son humour parfois tranchant, a fait cette comparaison peu après qu’un reportage sur une otarie à fourrure coincée dans les rochers de l’île a été diffusé sur le même plateau.
Le timing de sa présence sur le plateau, juste après une intervention de Mathilde Panot par visioconférence, a contribué à l’impact de sa remarque.
Réactions du Public
Les réactions sur les réseaux sociaux n’ont pas tardé à critiquer l’humoriste pour ses propos.
Des termes comme « pas drôle », « pas subtile », et « misogynie » ont été utilisés par les internautes pour exprimer leur mécontentement, soulignant que ce type de commentaire sur le physique d’une personne n’a pas sa place dans le discours public, surtout lorsqu’il s’agit d’une figure politique.
Réaction du Journaliste
Wow.
Otarie à l’image.
Semoun « j’ai cru que c’était Mathilde Panot »[@Anarcoluchiste] pic.twitter.com/p2t31AvImk
— j’dis ça j’dis rien ⏚ (@jdicajdisrien) July 3, 2024
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La réaction du journaliste qui a accueilli Semoun sur le plateau, marquée par un rire plutôt qu’une confrontation, a également été critiquée.
Certains internautes ont suggéré qu’un vrai journaliste aurait dû interroger Semoun sur le sens de sa remarque pour lui donner une chance de s’expliquer ou de s’excuser, plutôt que de simplement rire et passer à autre chose.
Conséquences et Réflexions
Cette situation met en lumière les défis auxquels sont confrontés les humoristes dans le contexte actuel, où les lignes entre l’humour et l’offense peuvent parfois sembler floues.
Elle soulève également des questions importantes sur le rôle des médias et des journalistes dans la modération des échanges et la responsabilité de fournir un espace respectueux pour tous les invités.