Posted 24 février 2024 by: Admin #Actualité

Ce vendredi, sous un ciel clément de février, Louis Bertignac, illustre alchimiste des cordes de Téléphone, marque le passage de son septième décennie. Un jalon qui invite à plonger dans les méandres de ses amours passées, en particulier son idylle avec Carla Bruni, étoile des podiums et voix envoûtante, qui a captivé l’Hexagone dans les années 80.

Bertignac, avec sa guitare comme sceptre, a régné sur l’arène rock avec des hymnes tels que « Cendrillon » et « La bombe humaine ». Au-delà de son aura de virtuose, sa participation en tant que juge dans les premiers éclats de « The Voice » a cimenté sa stature d’oracle musical. Pourtant, au cœur de cette trajectoire éblouissante, se tisse l’épisode de sa liaison avec Carla Bruni, muse et mélodie, qui allait devenir la première dame de France.

Leur romance s’esquisse comme la convergence de deux univers artistiques, une fusion de mélodies et de défilés. Lui, déjà consacré dans le panthéon du rock ; elle, étoile montante des catwalks. Une alliance qui, bien que brève, a enflammé l’imagination collective. Pourtant, cette étoile filante de passion s’est éteinte après quelques mois, un épilogue décidé par Bertignac lui-même.

Dans un entretien révélateur avec VSD en 2015, Bertignac dévoile les ombres de leur séparation. Initialement, Bruni était perçue non comme une compagne mais comme une admiratrice, soulignant un fossé générationnel. De plus, Bertignac confesse un malaise dans l’univers de Bruni, marqué par une réticence face à l’opulence, ainsi qu’une répugnance à renouer avec les frivolités de la jeunesse.

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