Icône de l’information télévisée des années 70 aux années 90, Marie-Laure Augry n’a pas sa langue dans sa poche. À 77 ans, l’ancienne journaliste vedette de TF1 et de La Cinq n’a pas hésité à égratigner son ancien confrère Jean-Marc Sylvestre en dévoilant le montant de sa retraite. Une pique cinglante qui souligne les écarts parfois vertigineux entre les pensions des stars du petit écran.
Publicité:
Invitée de l’émission « Chez Jordan » sur C8, Marie-Laure Augry a été interrogée sur le montant de sa retraite. Une question à laquelle elle a répondu sans détour, tout en nuançant ses propos au préalable.
Contexte et nuances
« Je suis née avant-hier, on n’avait pas du tout les salaires d’aujourd’hui ! J’ai fait plus des trois quarts de ma carrière dans le service public », a-t-elle d’abord précisé. Et d’ajouter sur son passage chez la Une privée : « Le TF1 privé, ça a été deux ans, pas plus. »
Révélation du montant de la retraite
Malgré ces mises au point, Marie-Laure Augry n’a pas éludé la question de l’intervieweur des stars. La journaliste a ainsi révélé toucher environ 2 500 euros de retraite, un montant qu’elle a immédiatement comparé à celui de son ancien confrère Jean-Marc Sylvestre.
Critique envers Jean-Marc Sylvestre
« C’est pas la retraite de Jean-Marc Sylvestre », a-t-elle lâché, en précisant qu’elle l’avait bien connu quand elle travaillait sur La Cinq. Une pique à peine voilée en référence aux propos polémiques tenus par l’ancien journaliste économique sur le même plateau.
Publicité:
Réaction et clarification de Jean-Marc Sylvestre
Pour rappel, Jean-Marc Sylvestre avait confié toucher 9 000 euros de retraite, mais que ce « n’était pas assez » car « il lui faudrait plus parce qu’on a des envies, des besoins ». Des propos qui avaient déclenché une vive polémique, le poussant à rétropédaler par la suite.
« Je sais qu’il disait que c’était dur », a réagi Marie-Laure Augry, se demandant si c’était « ironique ». Jean-Marc Sylvestre avait alors reconnu avoir « fait une connerie » et une « maladresse », tout en rappelant que cette somme de 9 000 euros n’était pas du net après impôts.