« Mon bébé pèse 10 kilos, on m’accuse de maltraitance mais mon fils est en très bonne santé »

Posted 17 juillet 2025 by: Admin #Actualité

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À seulement quatre mois, Gunner est devenu bien malgré lui une sensation virale. Bébé souriant et vigoureux, son gabarit hors norme a pourtant déclenché un torrent de jugements cruels sur les réseaux sociaux. Sa mère, Maci Mugele, jeune Américaine de 21 ans, tente aujourd’hui de rétablir une vérité simple : son enfant est en parfaite santé.

C’est avec fierté que Maci Mugele a publié une courte vidéo de son bébé Gunner sur TikTok, présentant son petit garçon de 10,2 kilos comme un « ourson de 22,5 livres de muscle pur ». La séquence, pleine de tendresse et d’humour maternel, a pourtant déclenché près de 20 millions de vues… et une avalanche de commentaires hostiles.

Certains internautes sont allés jusqu’à accuser la jeune mère de maltraitance, lui reprochant l’apparence potelée de son fils. « Ce bébé a besoin d’Ozempic », a commenté un utilisateur, faisant référence à un médicament contre l’obésité. D’autres ont insinué qu’un tel poids était le signe d’une alimentation inadaptée. Une violence verbale inattendue pour Maci, qui confie être profondément choquée par ces accusations. « Je pensais que les gens trouveraient ça mignon », confie-t-elle, amère.

Un développement rapide mais médicalement sans danger

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Depuis sa naissance le 19 février, Gunner affiche une croissance accélérée. Déjà plus grand que la moyenne in utero, il est né avec un poids légèrement supérieur à la moyenne, et son appétit s’est montré hors normes dès les premières heures. « Depuis le deuxième jour à l’hôpital, il mange plus que les autres bébés », précise Maci.

Pour autant, les médecins qui suivent Gunner se veulent rassurants. Selon leurs examens, le bébé est en pleine forme, sans signes de troubles métaboliques ou de complications. « Parfois, il y a des bébés plus gros que la moyenne, et ce n’est pas un problème », ont-ils déclaré à la mère. Un discours apaisant, à rebours des jugements brutaux dont elle fait l’objet en ligne.

Une stigmatisation insidieuse du corps… dès la naissance

L’affaire révèle à quel point les réseaux sociaux peuvent devenir des espaces de violence ordinaire, même envers les nourrissons. Ce que Maci pensait être un moment de complicité avec ses abonnés s’est transformé en tribunal impitoyable, où la grossophobie et les clichés parentaux font loi. Comment en est-on arrivé à commenter avec cruauté le corps d’un bébé de quelques mois ?

Pour de nombreux observateurs, cette histoire illustre une pression toxique sur l’image corporelle, qui touche désormais les plus jeunes. Maci, elle, dénonce un phénomène inquiétant : « Je ne vois pas en quoi c’est mal de nourrir mon enfant quand il a faim. »

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Entre attaques et soutien, la détermination d’une mère

Malgré les critiques, Maci Mugele refuse de se laisser abattre. Elle continue de partager des instants de vie avec son fils, et reçoit aussi de nombreux messages de soutien. Des internautes anonymes, des mères, mais aussi des comptes officiels comme celui des Tampa Bay Buccaneers, équipe de football américain, qui a plaisanté : « Je suis le premier à vouloir le recruter ! »

Certains voient en Gunner un bébé magnifique, joyeux et vigoureux. D’autres y lisent un symbole de tolérance et d’acceptation. En persévérant dans sa démarche, Maci espère ouvrir la voie à une parentalité plus décomplexée, moins soumise aux standards imposés par les écrans.

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Un message d’amour, au-delà des apparences

Dans ses publications, la jeune mère réaffirme une vérité essentielle que les réseaux sociaux semblent oublier trop souvent : « Mon fils est heureux, aimé, et en parfaite santé. C’est tout ce qui compte. » Au milieu des critiques infondées, cette phrase sonne comme un rappel de bon sens et une leçon de bienveillance.

Et à travers le regard de Gunner, ce bébé « hors norme » devenu symbole malgré lui, c’est peut-être notre rapport au corps et à la différence qui est mis à l’épreuve. Avec un peu plus de douceur, et un peu moins de jugement, peut-être que les réseaux sociaux pourraient redevenir un espace de partage. Et non d’exclusion.

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