N’oubliez pas les paroles : Benoît « branche » Cruella, la jalousie de Nagui lui revient en pleine tête
Posted 10 janvier 2025 by: Admin
Depuis plus d’une décennie, Nagui anime le populaire jeu télévisé « N’oubliez pas les paroles » sur France 2, où il a vu défiler d’innombrables candidats.
Le 2 décembre 2024, une nouvelle figure, Benoît, a marqué l’émission par son talent et son charisme. Ce jeune Angevin de trente ans s’est rapidement hissé au rang des grands maestros du jeu, grâce à ses performances exceptionnelles.
Ascension d’un champion
Avec ses 60 victoires et un gain impressionnant de 406 000 euros, Benoît s’est établi comme le cinquième plus grand maestro de l’histoire du jeu.
Sa confiance et son aisance devant les caméras lui permettent désormais d’adopter une attitude plus décontractée et familière lors des émissions.
Un échange piquant avec Cruella
Lors d’une émission du 7 janvier 2025, un moment particulièrement mémorable s’est produit lorsque Benoît a salué Cruella, une autre figure de l’émission, provoquant une interaction humoristique avec Nagui.
Malgré l’interruption de l’animateur, qui jugeait la situation gênante, Benoît n’a pas hésité à répondre avec esprit, laissant transparaître une jalousie prétendue de Nagui.
Les coulisses des révisions
La préparation de Benoît à « N’oubliez pas les paroles » a été intense. Vivant initialement chez sa mère, ses révisions nocturnes et ses entraînements vocaux étaient une constante.
Sa mère, Janine, présente sur le plateau, a partagé avec fierté les débuts musicaux de son fils et a même évoqué avoir joué le rôle de Cruella pour stimuler son entrain.
Une motivation née du confinement
Dans une interview récente pour Télé 7 Jours, Benoît a révélé que son inspiration pour participer à l’émission venait de ses sessions de visionnage durant le confinement, initiées lors de son retour d’Inde.
Ces moments partagés avec sa mère ont renforcé son désir de se produire sur scène. Fasciné par la capacité des candidats à mémoriser les paroles, il s’est juré de relever le défi, ce qui l’a poussé à se lancer dans un travail acharné dès le second confinement.