Posted 13 août 2024 by: Admin #Actualité

Le retour de Céline Dion sur la scène mondiale lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024 a marqué les esprits.

Toutefois, quelques jours après cet événement, une controverse a éclaté concernant l’utilisation non autorisée de sa performance par l’équipe de campagne de Donald Trump, mettant en lumière les tensions entre les droits d’artiste et la politique.

Céline Dion, absente depuis quatre ans, a fait un retour spectaculaire en chantant au premier étage de la tour Eiffel lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques.

Cette performance a été largement acclamée et a rappelé au monde entier le talent exceptionnel de la chanteuse canadienne. Cependant, son retour sous les feux des projecteurs a rapidement pris une tournure controversée.

Utilisation non autorisée lors d’un rassemblement politique

Le 9 août 2024, lors d’un meeting de campagne de Donald Trump et JD Vance dans le Montana, une performance de Céline Dion chantant My Heart Will Go On a été diffusée sans l’autorisation de ses gestionnaires.

La réaction de l’équipe de Céline Dion a été rapide et ferme, exprimant leur désapprobation à travers un communiqué officiel.

Ils ont souligné l’absence d’autorisation pour l’utilisation de cette performance emblématique, ajoutant une pointe d’ironie avec la phrase : « Et vraiment, CETTE chanson ? »

Réactions et comparaisons politiques

Alors que l’équipe de Trump n’a pas répondu aux allégations, l’incident a contrasté avec une approche plus consensuelle d’autres figures politiques.

Par exemple, Beyoncé a autorisé Kamala Harris à utiliser un de ses morceaux lors de sa campagne, illustrant des approches différentes dans l’usage de la musique à des fins politiques.

Ce contraste souligne l’importance du respect des droits artistiques dans le cadre de campagnes politiques, un sujet souvent source de contentieux entre artistes et politiciens.