« Je suis le vrai Michael Jackson » : à 32 ans, il prétend que le chanteur a refait son visage pour lui ressembler
Posted 19 novembre 2025 by: Admin
Sur les réseaux sociaux, une vidéo a récemment relancé la fascination — et la controverse — autour de Fabio Jackson.

Ce sosie officieux de Michael Jackson affirme désormais ne plus être un simple imitateur. Selon lui, il serait l’héritier spirituel, presque métaphysique, du Roi de la Pop, un héritage qu’il revendique avec une assurance déconcertante.
Dans sa vidéo, Fabio Jackson explique que son apparence n’est pas le fruit d’une simple volonté esthétique. Il raconte que sa rhinoplastie n’aurait été réalisée qu’en “écho” à celle de Michael Jackson, comme si les transformations du chanteur constituaient un modèle à suivre. Il détourne ainsi l’histoire des nombreuses interventions du Roi de la Pop pour nourrir une thèse singulière : Michael et lui formeraient une seule et même continuité, au-delà du temps et de la mort.

L’intéressé refuse l’étiquette d’imitateur. Pour lui, il ne s’agit pas seulement de reproduire des pas de danse ou une voix célèbre. « Je suis ce que Michael est devenu », affirme-t-il, revendiquant une métamorphose totale, nourrie par un long travail visuel et scénique. Dans ses apparitions publiques, il cultive cette image avec conviction, assumant un rôle qui dépasse la simple performance.
Une déclaration qui divise profondément le public
Ce discours interroge autant qu’il provoque. Certains internautes y voient un geste artistique, une mise en scène volontaire, destinée à attirer l’attention dans un univers numérique saturé. D’autres y lisent un délire d’identification ou une stratégie pour s’approprier la célébrité d’une icône planétaire. Entre admiration, scepticisme et malaise, les réactions oscillent fortement.

L’intervention de Fabio Jackson pose une question plus large sur notre rapport aux mythes culturels. Peut-on réellement “succéder” à un artiste disparu ? Et le mimétisme — qu’il soit vocal, physique ou scénique — peut-il suffire à légitimer une forme de continuité ? À ces interrogations, Fabio Jackson répond en incarnant sa propre version du mythe, mêlant hommage, appropriation et provocation.







