« Toi t’es vieille » : Géraldine Maillet se compare à une autre chroniqueuse de TPMP et ça tourne mal
Posted 16 décembre 2024 by: Admin
Sur le plateau de « Touche pas à mon poste » ce jeudi 12 décembre 2024, une discussion animée a eu lieu, mettant en vedette Polska, visiblement outrée par les commentaires précédents de la chroniqueuse Géraldine Maillet.
Les propos de Maillet, qualifiant Polska de « fantasme universel » et « d’objet sexuel absolu », ont suscité une vive réaction, notamment sur les réseaux sociaux où Polska avait déjà exprimé son mécontentement.
La tension était palpable lorsque Polska a confronté Géraldine Maillet sur ses propos, l’accusant de réduire les femmes à des objets, ce qu’elle juge totalement anti-féministe.
« Je veux bien ne pas être la plus intelligente mais là, j’ai eu l’impression d’être une poupée gonflable en fait ! », a déclaré Polska, visiblement affectée par la comparaison.
Tentative d’Explication et d’Excuse
Géraldine Maillet, cherchant à apaiser les tensions, a tenté de clarifier ses propos en indiquant qu’elle avait parlé dans un contexte « darka » (légèrement humoristique) et que ses mots étaient une sorte de compliment, en référence à sa propre jeunesse où elle pouvait être vue comme un « objet sexuel ultime » sans que cela ne la blesse, du fait de son contexte féministe de l’époque.
Une Question de Génération et de Perception
Le débat a également touché à des questions de perception générationnelle lorsque Polska a répliqué par une remarque cinglante sur l’âge de Maillet : « Vu que t’es vieille, on peut te respecter et moi comme je suis jeune, il ne faut pas me respecter ».
Cette remarque a provoqué des rires parmi les chroniqueurs, mais elle souligne la fracture entre les conceptions du respect et de la valorisation de la femme à travers les générations.
Conclusion de Maillet
Pour conclure, Géraldine Maillet a insisté sur le fait que, de son point de vue, elle ne se sentait pas rabaissée lorsqu’elle était jeune et que les termes utilisés n’avaient pas pour elle la connotation dévalorisante que Polska leur attribue. « Je n’avais pas l’impression d’être dévalorisée ou instrumentalisée.
En fait, ça ne me faisait pas plus de peine que ça », a-t-elle expliqué, mettant en lumière une différence fondamentale dans la manière dont les deux femmes interprètent et réagissent à des expressions similaires.